L’impertinente
Qui sommes nous ?
Créée en 2016, L’Impertinente est née avec l’envie de créer et diffuser des spectacles qui laissent la part belle au rire, pas un rire anecdotique, mais un rire nourri de l’univers et de l’écriture d’un auteur.
Sa première création Le Village est à 12 kilomètres…environ ! une comédie déjantée, est Coup de Cœur du journal Le Parisien et de Paris Match, au Petit Gymnase. En 2017, ce sera Ma Grammaire fait du vélo de et avec François Mougenot, mis en scène par Caroline Darnay, pour le Festival d’Avignon.
Petit à petit la ligne éditoriale de L’Impertinente prend une autre couleur, avec d’autres envies, en s’orientant vers un théâtre où la chanson et la musique prennent une place importante parmi les mots et la comédie.
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Stéphanie Gesnel
Chargée de production et diffusion
mail : steph_ges@hotmail.com
tel : 06 11 01 74 97
Après avoir œuvré comme comédienne pendant 20 ans au cinéma (avec entre autres Yves Boisset, Jean-Pierre Jeunet, Isabelle Czajka…) et à la télévision (avec entre autres Eric Summer, Jean-Daniel Verhaeghe…), Stéphanie Gesnel change de cap en 2016 !
L’Impertinente, une jeune association qui crée et diffuse du spectacle vivant, produit sa première pièce comme autrice, co-écrite avec Maud Heywang, Le Village est à 12 kilomètres… environ!, qui se joue au Petit Gymnase en 2016 et 2017. L’Impertinente lui propose alors de s’occuper de la création et de la diffusion de Ma Grammaire fait du vélo, de François Mougenot, spectacle mis en scène de Caroline Darnay. Depuis, le spectacle continue sa route à Paris, Avignon (2017-2018-2019) et en tournée (Sète, Miribel, Sarcelles, St Cyr…).
De formation en formation, elle apprend tout ce qui concerne la production, l’administration et la diffusion d’un spectacle. Elle est sollicitée pour administrer différentes compagnies et continue à travailler pour L’Impertinente comme chargée de production et diffusion.
Laetitia Augustin Viguier
Chargée de production et diffusion
mail : limpertinente93@gmail.com
tel : 07 67 02 96 17
Elle commence à jouer avec la compagnie Charlie Noë qui tourne avec des œuvres du répertoire français. Puis elle joue avec des compagnies de théâtre de rue en France et à l’étranger. Parallèlement à cela, elle monte sa propre compagnie, le Cyclothéâtre, et travaille alors comme metteuse en scène et comédienne autour de créations qui tournent à Madagascar et en France. Elle continue à jouer principalement dans des créations et aborde le clown et la marionnette. Son goût prononcé pour la recherche l’amène à passer deux ans avec Teatro da Vertigem au Brésil pour jouer une de leurs créations. Cette collaboration se poursuivra en Belgique au Théâtre National de Bruxelles et au Chili au Festival Santiago a Mill. En France, elle travaille sur des scènes de théâtre ou d’Opéra où elle a pu croiser, dans le travail, Terry Gilliam et Guillaume Galienne. L’expérience qu’elle a eue en tant que directrice artistique de compagnie l’a amenée à s’intéresser aux aspects de la production et diffusion de spectacle. Le prolongement de cette expérience au sein de la structure L’Impertinente n’en est que plus naturel.
Nos Spectacles
Pour accéder aux informations détaillées d’un spectacle, cliquer sur son affiche.
Majola
Durée : 1h10
Résumé : LES VISAGES DE MAJOLA
Au début des années 80. Oskar Schindler est considéré comme l’un des héros de la Seconde Guerre Mondiale.
Dans un palace de Munich, un journaliste américain, ancien combattant, et son cameraman d’origine juive rencontrent la veuve d’Amon Göth, le commandant du camp de concentration de Plaszow d’où ont été sauvés les prisonniers de la liste de Schindler.
Est-elle une héroïne ? Une criminelle ? Une victime ? Un monstre ? Après un an de vie commune avec le « Boucher d’Hitler » et près de quarante ans d’anonymat, Irène Kalder va leur livrer sa vérité et les forcer à dévoiler la leur.
Le Crédit
Durée : 1h15
Résumé : Dans le bureau du conseiller clientèle d’une grande banque, un client sollicite un crédit…Oui mais voilà, les garanties financières présentées sont insuffisantes et le banquier refuse.
Après avoir expliqué l’urgence de la situation et plaidé sa cause, le client, à bout d’arguments, trouve alors un moyen tout à fait inattendu pour faire céder le banquier…
A partir de là, tout dérape !
La situation banale que nous avons tous vécue explose dans un enchaînement de situations hilarantes et nous jubilons tous de voir, pour une fois, un client prendre le pouvoir sur un banquier.
Et vous jusqu’où seriez-vous prêt à aller pour obtenir un crédit ?
Pendant 1h20 les deux comédiens se livrent à une véritable joute verbale et tiennent le public en haleine jusqu’à la dernière minute!
Les Coeurs andalous
Durée : 1h20
Résumé : En Andalousie, les femmes perpétuent une vieille coutume. Avant de mourir, elles brodent un cœur en tissu rempli des écrits de leurs secrets. Leur fille aînée en hérite avec l’interdiction de l’ouvrir, sinon…malédiction !
Dernière descendante de sa lignée, Lola décide de ne plus porter le poids de son histoire familiale et ose pénétrer les secrets inavoués de son aïeule, Inès Dolorès. S’ouvre alors la porte de ses origines : un jardin peuplé de fantômes, de passions contrariées, de ronces épineuses et de roses couleur de sang. Un tourbillonnant et brûlant voyage transgénérationnel où se mêlent chant, danse et guitare. A mi-chemin entre Lorca et Almodovar, du théâtre musical aux accents gitans et flamencos qui nous transpercent jusqu’à l’âme.
Quai des Orfèvres, Légitime défense
Durée : 1h20
Résumé : Paris, fin des années 1940. Paul Weylberg, célèbre mécène, collectionneur d’art et séducteur invétéré, est mystérieusement assassiné. Dans son appartement, l’artiste peintre Noël Martin semble particulièrement nerveux à l’annonce du meurtre. Mari jaloux, il soupçonne sa femme de lui mentir sur la nature de ses relations avec Paul Weylberg. L’arrivée puis l’omniprésence du Commissaire Maria, chargé de l’enquête, sème le trouble…
La comédienne Raphaëlle Lemann met en scène le roman policier de l’auteur belge Stanislas-André Steeman, paru initialement sous le titre Légitime Défense. Ce dernier a déjà fait l’objet d’une célèbre adaptation au cinéma par Henri-Georges Clouzot avec Louis Jouvet dans le rôle de l’enquêteur.
Richard III
Durée : 1h50
Résumé :
Nous avons devant les yeux une fresque titanesque, terreur qui aboie son fiel et glisse dans un lit de souffrance et d’effroi. Le monde de Richard est en sursis. C’est un monde agonisant qui ne peut plus cacher sa désespérance. La tristesse le dispute à la sidération, l’épouvante chemine avec le remords. Le fatum s’est abattu dans les contrées du Yorkshire et agite le spectre de l’anéantissement. L’inévitable chute des princes et des rois illustre la vanité du pouvoir des hommes et la toute- puissance d’une force supérieure qui écrase, broie les cœurs et empêche la bonté d’éclore des consciences par trop barbares.
Richard III est baroque, effervescent, poétique et cruel. C’est un concentré d’apocalypse qui se déroule sous nos yeux et qui rappelle tragiquement les agissements de tous les extrémistes assoiffés de pouvoir.
Richard III ébranle les consciences, nous fait nous reconnaître meilleurs face à la monstruosité. Miroir de nos pulsions contenus, glissement dans les affres de notre effroi, Richard III est une fresque dantesque, un récif qui réfléchit le monde majestueusement.
William Mesguich, metteur en scène
Les Sept Vies de Lucia O
Durée : 1h
Résumé :
Lucia est une adolescente née dans un petit village isolé dans l’Espagne des années 30’, un monde sans électricité ni eau courante, où l’analphabétisme et la misère se transmettent depuis des générations de père en fils et de mère en fille…
Un jour, un cortège de Sœurs Clarisses « à la recherche de vocations » frappe à la porte et convainc le père de la petite Lucia de partir avec elles dans un couvent à Barcelone pour « servir le seigneur »…
Face à son destin inexorable, la jeune Lucia comprend que la liberté ne se donne pas…elle se prend !
A travers « Les Sept Vies de Lucia O. » on découvre une bouleversante et véridique histoire, celle d’une personnalité exceptionnelle au destin hors du commun !
Un récit entre l’Espagne, la France et l’Argentine joué et interprété par Eduardo Garcia.
Lève-toi!
Durée : 1h
Résumé : Sarina est seule sur scène avec son piano et sa guitare dans une boite imaginaire. Au fil d’un récit mêlant anecdotes historiques et autobiographiques, elle nous raconte son histoire au travers de celle des chanteuses dont elle revisite les succès emblématiques et qui l’ont inspirée pour se construire en tant que femme et artiste.
Par sa voix et en prenant à parti le public, elle nous transporte dans les années folles ou nous fait participer au concert mythique de Woodstock ! Les émotions ainsi créées nous font revivre les moments qui ont révolutionné le monde grâce à la musique.
Sarina est aveugle et ne peut donc pas voir la boite dans lequel elle est prisonnière. C’est une projection, une image impalpable, mais est-elle plus visible pour nous ?
Existe-t-elle vraiment ? « Tout comme le plafond de verre elle n’existe en fait que dans nos têtes, les seules limites sont celles que l’on se pose à soi-même. »
Le spectacle est une invitation à se lever pour sortir de la boite, à penser «out of the box» en dépassant les limites implicites et nos préjugés, en imaginant le monde tel qu’on le voudrait afin de le changer petit à petit.
Eutrot
Durée : 50 minutes
Résumé : Eutrot (“Tortue” à l’envers) est l’histoire d’un homme très timide, d’une femme très gentille et d’une petite tortue appelée Alf. Amateur fleuriste, M.Toupie tombe fou amoureux de sa voisine Mme. Sylvestre, qui ne vit que pour sa tortue Alf et voudrait qu’Alf grandisse rapidement. M.Toupie de son côté voudrait inviter sa voisine à prendre un thé mais il n’ose jamais passer le cap. Est-il possible qu’Alf, la petite tortue passionnée de salades et de tomates soit la clef de la porte qui s’ouvrirait vers le cœur de Mme Sylvestre ? M.Toupie essaierait tous les moyens, parfois absurdes et parfois « magiques » pour pouvoir aider Mme. Sylvestre, nos deux personnages se rejoignant autour d’un projet commun : faire grandir Alf. Mais quel projet ! Des chansons, des fleurs, des formules magiques, une attrape tortue et une centaine de tortues… suffiraient-ils pour une fin heureuse ?
Et Si…
Durée : 35 minutes
Résumé :Un trio de singes curieux qui brave l’interdit pour se procurer de délicieuses mangues… Une histoire pleine de suspense sur le fait de repousser les limites… Trois p’tits singes et leur papa sont assis haut sur une branche dans la canopée de la forêt. « À toute à l’heure mes amours, soyez sages », dit le grand singe.
« Quoi qu’il arrive, n’oubliez pas… Il ne faut surtout PAS descendre près des manguiers. Il y a des tigres là-bas et leurs estomacs grondent. » Pourtant ces p’tits singes gourmands ADORENT les mangues : “Miam miam . . . des mangues ! . Hmm . . . ET SI . . .” Et si… ils allaient simplement regarder les mangues….“Regarder les mangues” ne serait pas interdit n’est-ce pas ?
Est-ce que nos p’tits singes curieux vont-ils écouter leur parent ? Ou bien vont-ils suivre leur tentation pour vivre une sacrée aventure, sans forcément imaginer les conséquences de leur acte? Quand personne ne regarde c’est encore plus dangereux n’est-ce pas ?
TOUT DE GO pour son nouveau spectacle jeune public a voulu traiter les thèmes de l’interdit, du danger, de la désobéissance, de la curiosité et de repousser ses limites. C’est pour cette raison que nous avons choisi d’adapter le livre de Chris Haughton, Maybe.
ET SI… est une pièce de théâtre d’ombres et de marionnettes dans laquelle deux comédiens- marionnettistes manipulent les marionnettes des trois p’tits singes ainsi que le parent et d’autres personnages en théâtre d’ombres (les tigres et d’autres animaux de la forêt).
Soie
Durée : 1h10
Résumé : Vers 1860, Hervé Jonjour entreprend quatre voyages au Japon pour acheter des œufs de vers à soie. Dans ce pays lointain et dangereux, il va tomber follement amoureux d’une belle inconnue et cette rencontre va bouleverser sa vie.
SOIE parle d’amours impossibles, de sensualité, d’obsession et « du bonheur que l’on fuit de peur qu’il ne se sauve… »
Une invitation au voyage et à l’amour, une invitation pudique et sensuelle, par l’auteur de NOVECENTO.
SOIE, publié en Italie en 1996 et en France en 1997, est devenu en quelques mois un roman culte.
Opérapiécé
Durée : 1h20
Résumé : Opérapiécé est comme un tourbillon, un vent de folie musicale et théâtrale qui souffle avec enthousiasme et émotion dans nos cœurs ravis. Nos oreilles sont assaillies joyeusement par des airs classiques qui ont télescopé des airs de la chanson française et c’est un enchantement. Strauss et Chopin font des clins d’oeil à Jacques Brel et à Alain Souchon, Vivaldi côtoie avec espièglerie Jacques Dutronc et Albinoni donne la réplique à Claude François…
Une vie là-bas
Durée : 55 minutes
Résumé :Une Vie, là-bas est une ode à l’imagination, comme unique protection à la violence du réel,
comme stimulant au désir de vivre. Une Vie, là-bas se divise en cinq scènes, cinq étapes
d’un voyage. La pièce raconte le périple d’un père et de son enfant, sur les routes d’un exil forcé et incertain.
Leur objectif : rejoindre “la ville 2.0”, la ville où tout ira mieux, la ville des possibles…
Le duo ne sera cependant pas seul sur scène… Un troisième personnage non écrit, pensée en action
de l’Enfant, les accompagnera. “La Présence”, figure fantomatique, tel un prolongement fantasmagorique
de l’Enfant, se révèlera manipulatrice d’objets et de matières (sable, poussière, terre et eau), accessoiriste
à vue, faiseuse d’ombres, de lumières et de sons… À elle de transporter le spectateur de lieu en lieu,
d’aider l’Enfant à raconter son périple, d’apporter la dimension homérique à ce voyage.
Comment parler à un enfant et le réconforter quand il est confronté à une situation complexe et
douloureuse ? Le Père, désireux de rassurer l’Enfant, cherche une échappatoire poétique. Des petits
contes tendres et surprenants, filtres protecteurs et paternels, scandent le récit et procurent des
respirations humoristiques et rassurantes.
Les Fables, de Marie de France
Durée : 1h
Résumé : Les Fables de Marie de France s’inscrivent dans la lignée des spectacles du matrimoine mis en scène par Aurore Evain comme La Folle Enchère de Madame Ulrich, Le Favori de Madame de Villedieu et Mary Sidney, alias Shakespeare.
Dans son travail de compositrice, Isabelle Olivier accorde elle aussi une place particulière à la collaboration artistique avec des créatrices de toutes les époques.
La rencontre entre ces deux artistes est donc tout à fait prometteuse d’un sens profond donné à la parole féminine à travers les âges et les cultures.
Pour faire résonner ces fables, traduites et versifiées en français moderne par Françoise Morvan, la musique composée par la harpiste Isabelle Olivier se fait l’écho de la plume de Marie de France. Le costume et la harpe, transposition de la silhouette de l’autrice et de son pupitre, évoquent le portrait que nous ont transmis d’elle les enluminures de l’époque.
Les premières notes du spectacle font apparaître comme par magie les éléments et silhouettes du décor : le grand livre de Marie de France, où prendront vie des enluminures inspirées de bestiaires médiévaux ; trois paravents, nous invitant, par de poétiques jeux d’ombre et de lumière, à plonger dans les poumons de la forêt de Brocéliande et de nos campagnes d’antan : s’y jouent et s’y rejouent, au fil des notes et des pages du fablier, des saynètes de faunes explorant les chemins de vie que peut prendre l’existence humaine.
Contes des Fées
Durée : 50 minutes
Résumé : Trois fées sorties d’un livre content les aventures d’héroïnes métamorphosées en animaux, sous la plume de la plus prolifique conteuse du Grand Siècle, au son des compositrices de l’époque.Après une vie mouvementée passée à tenter de se défaire d’un mari qui lui a été imposé alors qu’elle n’avait que 15 ou 16 ans, après s’être exilée en Angleterre et en Espagne, la baronne d’Aulnoy s’établit à Paris en 1690 où elle passera ses quinze dernières années. Elle y ouvre un salon littéraire très prisé et publie ses premiers récits inspirés de sa vie d’aventure. C’est en 1697 que paraîtront les quatre volumes des Contes des Fées dans lesquels se trouvent quelques-uns des plus grands chefs d’œuvre du genre.
Aurore Evain restaure la mémoire de cette autrice oubliée et redonne à ces pépites littéraires l’éclat qui leur avait été ravi des siècles durant, accompagnées par des musiques composées par des femmes au XVIIe siècle
J’ai mangé du Jacques
Durée : 1h10
Résumé : “J’ai mangé du Jacques”, du théâtre musical, avec au menu les reprises d’un tas de mecs qui s’appellent Jacques. De Prévert à Dutronc, Higelin ou Demy… mais pas seulement : il est des Jacques méconnus qui ont pourtant écrit pour Nougaro, inspiré l’hymne des “Cités d’or” ou siffloté “Colchique dans les prés”. Un engagement créatif façon madeleine de Proust, où Julie et Raphaël – comédiens, interprètes et multi-instrumentistes – revisitent avec délectation un patrimoine exquis.
Le rideau s’ouvre sur deux gourmands qui semblent sortir de table. Les chansons coulent les unes après les autres, se répondent et s’interpellent d’un bout à l’autre d’une grande tablée musicale.
Les paroles des célèbres auteurs sont mises en valeur par des arrangements audacieux : “Fais pas ci fais pas ça” de Dutronc se transforme en rap endiablé, le “Comme d’habitude” de Jacques Revaux devient une bossa lancinante, des incursions se font dans le public quand Jacques Datin offre à Nougaro la mélodie d’une course folle, et la réalité elle-même s’efface pour faire revivre un Jacques Douai disparu, dont la voix enregistrée surgit du passé pour prendre pos- session des artistes en pleine digestion.
Les instruments qui accompagnent ce repas mélodique surprennent, mettent en appétit, bercent et réveillent : piano, guitare, mais aussi derbouka, triangle, kalimba, mélodica, flûte.
L’impertinente
Nelly Gutman, présidente & Joëlle Brodier, trésorière